12/04/2011

chekhchoukha, zviti et doubara au menu des dossiers ANSEJ et CNAC

M'sila: Cela pourrait être aussi une bonne leçon d'entrepreneuriat
Traditionnels et pourtant une bonne opportunité pour investir, les mets que l’on ne pouvait savourer que chez soi sont, en effet, devenus les menus favoris des restaurateurs de M’sila, qui semblent avoir découvert, en eux, le bon filon pour faire marcher leur commerce.
Ils sont, ces derniers temps de plus en plus nombreux à proposer des menus où s’entrecroisent la célèbre «chekhchoukha», le «zviti» ou «slata mehras»,  la «louha», la «kemmounia», la «doubara» et d’autres plats populaires qui, dans un passé encore récent, ne pouvaient être dégustés qu’à la maison.
Ces plats du terroir sont même en passe de détrôner toutes les autres préparations culinaires, selon bon nombre de restaurateurs qui affirment qu’ils font recette, grâce à leur «trouvaille», autant auprès des clients locaux que  chez les voyageurs de passage dans les restaurants de M’sila, de Bou Saâda, de Sidi Aïssa et d’autres villes de la wilaya. La «chekhchoukha», plus que les autres plats, semble avoir le vent en poupe.
Un restaurateur, qui en a fait sa spécialité, met un point d’honneur à faire en sorte que la qualité du mets servi par son établissement soit au top et n’a rien à envier aux plats servis lors des fêtes et des grandes occasions familiales.  L’engouement pour la «chekhchoukha», très demandée notamment à l’heure du déjeuner, est constaté chez toutes les couches sociales, pauvres ou riches, cadres, entrepreneurs ou simples travailleurs qui n’hésitent pas à en commander une assiette malgré son prix relativement élevé (150 dinars en moyenne).
La «chekhchoukha» est généralement accompagnée par un autre plat traditionnel, la «slata mehras», appelée «zviti» à Bou Saâda, une préparation piquante à faire  transpirer plus d’un. Et afin de lui donner un cachet encore plus rustique, ce «mets de feu», idéal et très prisé comme accompagnement est présenté sur une table spéciale percée d’un trou en son milieu, destinée à accueillir le pilon en bois (mehras) où il a été préparé.  
La salade piquante est puisée directement du pilon par les commensaux qui la savourent en s’essuyant le front et, parfois, en ahanant, le gosier étant mis à rude épreuve par le piquant de ce plat que certains restaurateurs essaient néanmoins d’adoucir en réduisant la dose de piment par rapport à la tomate ou en y ajoutant de l’huile d’olive ou du beurre naturel.
Malgré tout, les M’silis aiment bien le goût si particulier de leur «slata mehras», préparée à base de galette pilée, de piment vert et de tomate, le tout saupoudré de cumin.Ils la prennent à tous les repas de la journée et la considèrent comme un remède radical contre les rhumes et les coups de froid.

1 commentaire:

Anonyme a dit…

en analaisant la situation socio-économique de lalgerie en comprend bien qu"il ya une grande complicité des service secré étrangé un payé avec toute ces capacité hummaine et matérielle vie dans telle situation ci pas normale mais ci ca le combat des nation le problem ci que ci pas boutaflika qui est fort mais ces labsence des hommes dans l'état algerien sur tous dans larmi des jeunne liotnant colonal part en retraite et en instale des vieux bourer de toute les maladies qui peuve ixister sur terre des génireux et personne ne bouge persone ne parle alor bssahathoum les boutaf et les les juife fort obazour